Ouagadougou sous tension: affaire Justin zongo a koudougou

La ville de Ouagadougou comme les autres villes du pays ont maintenu leur mot d’ordre de grève jusqu’aujourd’hui. La capitale burkinabé vibre actuellement une ambiance tendu et festive a la fois.

Les festivaliers, venu de part le monde pour le festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, qui bat son plein, alors composer d’étranger et une minorité des burkinabé parce que n’ayant pas le cœur a la fête ce temps-ci et d’autre part les grévistes composer uniquement de Burkinabé, ont pris d’assaut les rues  pour réclamer lumière et vérité sur la mort de Justin zongo élève a Koudougou qui semble t il a été victime de bavure policière et par la suite a succombé a ses blessures.

Commencer le 22 du mois de février dans la ville de Koudougou, la crise gagne et continue de gagner les autres villes du pays.

En effet, Justin zongo aurait été trimbalé aux poste de police de sa localité pour y recevoir des corrections, parce qu’ayant eu une rixe avec une fille de sa classe qui semble t il cette dernière avait pour prétendant un policier. Et la suite, on le sait tous aujourd’hui.

Malgré que le Gouverneur de la région en la personne de Baworo a été démis de ces fonctions. Ce a quoi les manifestants avaient dans leur plate forme revendicatif.

Le message qu’a lancé le père du défunt, Justin zongo, demandant le retour au calme et, s’inquiétant que la mort de son fils ne soit une cause pour endeuiller d’autre famille. Les manifestants ont fait sourd oreille et ont décidé de maintenir le mot d’ordre de grève. Commencer le 22 février 2011 dans la ville de Koudougou. Depuis, les pertes en matériels et en vie humaines ont été enregistré. Issu des différents rounds entre force de l’ordre et manifestant.

Les cours du primaire, secondaire, et universitaire ont été suspendus jusqu’au 1 Mars sur tout le territoire national. Les établissements publics comme privé. Mais vue que ces mesure n’ont pas porté de fruit, le ministre de l’enseignement a encore renouveler la suspension des cours aujourd’hui 1 Mars jusqu’à nouvelle ordre.

Premièrement, Si le calme semble ne pas être prêt a revenir, c’est parce que la mort de Justin zongo est un acte qu’on peut interpréter comme la goûte d’eau qui vient de débordée la vase.

Deuxièmement, semble t il que des gens ont eu la mal intention de masquer les vraies cause du décès. Ce qui est perçu alors comme une injure à la conscience des uns et des autres.

Espérons que le calme ne va tarder a revenir, et espérons aussi que lumière sera faite et que cela na va plus se répété.

Zcultur