ENFIN UN OUF DE SOULAGEMENT

4 janvier 2011

ENFIN UN OUF DE SOULAGEMENT

Je compatis à certains père de famille en ces fin d’année qui boucle avec des fêtes dont l’importance n’est pas à négliger, qu’on le veuille ou pas. Vous êtes sans savoir que dans nos sociétés, on vis plus dehors qu’à l’intérieur et on regard les uns les autres que soi-même. Il faut s’habillé selon la convention, sortir selon la convention, parler selon la convention et en suit de suite…

Tant pis pour ce père de famille qui ne sera pas à mesure. Qui n’arriverait pas à amener madame à se vêtir comme les autres c’est-à-dire (bien sûr, selon la convention) à avoir la même coiffure que… à avoir les mêmes parures que…bref. La liste sera longue si j’additionne les petites caprices dont je ferais ici abstraction.

Pour les petites (enfants), cela révèle d’une obligation sans quoi l’honneur sera atteint.

Et si par chance ce dernier n’est autre que ces types de père qui ne s’occupe, ne se soucis que de sa petite famille seulement à savoir, madame et ses enfants. Tant mieux.

Malheur à lui, s’il n’est pas de ceux ci-dessus cité. S’il est ce type de père dont toute la grande famille compte sur, comme on en trouve fréquemment chez nous. Là c’est une véritable casse tête chinois.

Ils sont légions, cet état de fait dans nos sociétés africaines où, si l’un des membres de la famille arrive à se faire une place au soleil doit assumer de grande responsabilité.

Hormis la charge de madame et des enfants, celui-ci doit s’appliquer à se que l’enfant de son frère, de sa grande sœur, voire même certaine famille de sa belle famille vivant sous sa tutelle à lui puise se vêtir de façon convenable (bien compris selon la convention).

Si on accorde un instant, une pensé particulière à ses braves pères de famille, je dirais du moins père de grande…de famille élargi, Qui ne vivent que pour les siens. Quoi de plus normal de compatir à leurs sorts. On se rend compte combien la fête peut être une tâche lourd pour certains pères de famille. Nous sommes au lendemain des fêtes et je vois des visages qui se décontractent, qui poussent un ouf de soulagement.

Zcultur

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