RENTREE GOUVENEMENTAL : l’heure est au partage

20 janvier 2011

RENTREE GOUVENEMENTAL : l’heure est au partage

C’était le 14 Janvier qu’a eu lieu la rentrée gouvernemental. Son excellence Mr Tertus Zongo ancien premier ministre démissionne le 11 Janvier et reconduit sur le champ au rang premier a pris soin de ne pas perdre son temps pour mettre sa nouvelle équipe en place. En fait, départir le gâteau en tant que premier bénéficiaire. Le premier a être récompensé.

 

L’heure est venue de départager et de partager le gâteau. L’heure est venue de savourer la victoire. N’en déplaise au perdant qui eux aussi grignote discrètement et amèrement leur parcelle dans un petit coin.

La presse Burkinabé a largement fait et continue de faire l’écho de la rentrée du tout nouveau gouvernement de son excellence Mr Tertus Zongo premier ministre chef du gouvernement. Rentrée qui a eu lieu à la date du Vendredi 14 Janvier 2011.

On a pu remarquer la légère mutation, juste une légère, au sein de cette vieille équipe qui gagne et qu’on ne doit pas changer parce qu’on ne change pas l’équipe qui gagne me dirons certains. De nouveau ministère créer. (Vu peut-être le nombre d’individu a récompensé), 5 départs, 9 nouvelles têtes sur les 38 membres. Quoi de plus normal. C’est l’heure du bilan.

 Comme je l’avais dit et chuchoter dans un de mes articles « Le PMU du quarté électoral » publier le 08 novembre 2010 qui mettait en relief un certain système à savoir la lutte des reconnaissances pendant l’élection présidentielle. Disons que le jour du 14 Janvier fut le jour ou des gens on vu leur effort récompensé à la limite de leur travail. Tout travail se paye me dirons encore certaines personnes.

Des gens se sont données corps et âmes. Bec et ongle, ils ont lutté afin de conserver, de se voir gravir de nouveau échelons ou en d’autres termes, maintenir nos destinées dans leur propres main d’homme. Mais on s’en moque pas mal de tout ça, pourvu que nos attentes, l’attente du citoyen lambda soient leurs priorités.

 Qu’en est-il de ma voie ? Certains citoyens ne pose que cette question maintenant.

 Même si le changement n’a été que léger. On va se permettre d’espérer une fois de plus. On va espérer encore le salut, le changement de nos conditions de vie. On ne demande que cela en vertus de notre titre de citoyens de second rang.

Zcultur

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