Oui, ont vote pour la fête

30 décembre 2010

Oui, ont vote pour la fête

23h 45mn, les rues de Ouaga garde son ambiance habituelle que les heures de point des jours ordinaire. A savoir 7h 30mn, 12h 30mn, et 17h 30. Heures à laquelle les travailleurs se bousculent pour rentré chez eux ou se rendre au service.

Ici la fête semble se faire dehors (dans les rues). En cette journée du 24, ou 31 Décembre, Jour-j moins un. Les Ouagalais semble toute oublier et abandonner mais les aires festifs ? Non.

Quoi de plus normal, cette effervescence. La vieil de tout fête mérite bien son titre de ‘’l’instant majeur’’ surtout pour les enfants qui l’avaient commencer, ces préparatifs, depuis le début d’octobre, 3 mois après, par la fabrication des petites briques enfin que la crèche soit fin prêt la fête de noël qui prolonge jusqu’à la fête du saint sylvestre. Par conséquent, ils se rivalisent de talent d’architectural pour érigé des églises en miniature devant les concessions.

 

Les adolescents ne sont pas en reste. Elle ne se prépare pas en une journée, la fête, mais plutôt des mois même si cela reste dans le plus discret possible.

Chez les parents de famille, le jour-j représente la phase finale d’un cauchemar qui avait pris corps il y a des mois et des mois dans leur matière grise. Si l’on veut être réaliste.

Tant de sacrifice et pas les moindre, ils consentirent afin que la fête soit belle. Que les enfants puissent vivre l’instant comme il se doit. Qu’ils puissent étrenner du neuf (habit, chaussure, etc…) qu’ils puissent manger à leur faim. Qu’ils puissent, enfin…bref, ressembler à leur semblable.

Là, c’est la préoccupation majeur de tout parent. Oui, même s’il va falloir après travailler très dur pour se remettre de ses dettes contracter ça et là pour la circonstance.

Pour les Burkinabè, les fêtes, c’est une tradition à part entière qui se perpétue au file des années. L’accent est mis sur la nourriture. Vous êtes sans savoir que dans nos sociétés démuni, surtout Burkinabè, la question alimentaire reste une préoccupation. Si la nourriture était un objet, on l’aurait classé parmi les spécimens rares.

Les Burkinabè on garder la portion de cette culture à savoir le partage. Bien sûr le partage de la nourriture à ses voisins sans distinction de race ni de religion. En l’occasion des fêtes, la famille triple la quantité voir plus se qu’ils cuisine au quotidien parce qu’il est partager à presque tout les environs et vis versa. Bien sûr pour respecter la tradition, la notion de fête dans nos société modeste.

La fête est célébrée modestement mais la joie dans les cœurs reste immense.   

Zcultur.

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